L’école secondaire semble sortie de la pandémie, dont la gestion a accru les tâches des directions. Elle a aussi servi d’accélérateur sur le plan du numérique et de la remise en question des modes d’évaluation. Toutefois, un certain nombre de demandes ressurgissent aujourd’hui quant aux spécificités de la fonction de directeur. Le point avec Alain Koeune, président de la FEADI (Fédération des associations de directions de l’enseignement catholique), à la veille d’une assemblée générale à laquelle le gouvernement est convié.