Après deux mois d’une intense mobilisation à l’initiative du SeGEC, le gouvernement de la Fédération Wallonie-Bruxelles a décidé d’adapter sa décision initiale relative au volet « bâtiments scolaires » du plan de relance. Au départ, celle-ci réservait aux écoles du réseau WBE un montant par élève dix fois plus élevé qu’aux écoles libres ! Plusieurs décisions ont été prises le 8 avril dernier, dont l’adaptation des clés de répartition. Le directeur général du SeGEC les détaille dans son éditorial. Seront-elles de nature à restaurer la confiance entre l’enseignement catholique et le gouvernement PS-MR-Ecolo de la Fédération Wallonie-Bruxelles ? L’avenir nous l’apprendra et les échéances à cet égard s’annoncent très rapprochées…
La répartition de l’enveloppe de 230 millions d’euros issue du fonds de relance européen et destinée à la rénovation des bâtiments scolaires aura fait couler beaucoup d’encre. Et entraîné des débats dont les arguments étaient souvent infondés. Démêlons le vrai du faux, en nous posant les 7 questions clés de ce très important dossier.
Un an après l’irruption du Covid et du basculement régulier des cours en virtuel, il est temps de questionner cette nouvelle manière de « faire école ». C’était l’objectif de la matinée d’étude du SeGEC, fin mars. Plusieurs acteurs de l’école y ont témoigné de leurs difficultés, de leur épuisement. Mais aussi de la créativité, de l’énergie mobilisatrice et de l’extraordinaire résilience pédagogique dont les équipes ont fait preuve. Car cette crise a aussi mis en évidence de nombreuses opportunités d’apporter du changement et de repenser l’école.
La relation enseignant-élèves est la plus importante, elle est au cœur du problème. C’est la conviction de Jean-Marie De KETELE, invité à conclure la matinée d’étude du SeGEC. À cet égard, le distanciel, quand il a été bien mené, a peut-être créé plus de présence que le présentiel dans la forme scolaire habituelle.
Interviewer le Premier ministre Alexander DE CROO, ce n’est pas donné à tout le monde ! C’est le privilège qu’ont eu plusieurs élèves de 6e primaire de l’école St-Michel de Jette grâce aux Niouzz. Regarder cette émission d’actu de la RTBF à destination des enfants est devenu pour la classe un véritable rituel. Il constitue le point de départ de débats, mais aussi une réelle inspiration pour la pratique pédagogique.
Les évaluations externes (CEB, CE1D et CESS), confirmées par la ministre de l’enseignement, ne pourront tenir compte que des points essentiels définis pour chaque matière. Des balises seront détaillées dans une circulaire concertée avec des représentants des syndicats, des parents et des pouvoirs organisateurs. Beaucoup de parents craignent pourtant la grande latitude laissée aux écoles… Qu’en pensent nos fédérations d’enseignement fondamental et secondaire ?
La passion d’Alain ELOY, c’est le théâtre. Une étincelle à l’école lui a permis d’en prendre conscience et, depuis, il n’a plus arrêté. Tout est bon pour pratiquer son métier, que ce soit sur les planches, en doublage de dessins animés ou devant la caméra des Frères DARDENNE. La situation actuelle des artistes lui tient donc particulièrement à cœur. C’est pourquoi, lors du 1er confinement, il a initié le Fonds Sparadrap, qui vient en aide aux plus démunis du secteur culturel.
Choisir la bonne orientation, la bonne filière, la bonne école au secondaire ou au supérieur, la tâche n’est pas simple. C’est encore plus vrai en cette période de pandémie. La peur de se tromper peut paralyser certains et, le choix fait, la réussite est loin d’être garantie. C’est ce qui a amené l’enseignement secondaire à prôner une réelle Éducation aux Choix et les établissements d’enseignement supérieur à envisager ensemble comment aider les jeunes à prendre les bonnes décisions.
Le philosophe et sociologue français Jean-Pierre LE GOFF se présente comme un «spectateur engagé». Touché par le Covid dès la première vague de la maladie, il a noté ses observations, conscient, malgré la fièvre, d’assister à un moment exceptionnel de notre histoire. Il en a sorti un livre où il montre à quel point cette crise sanitaire est révélatrice d’un état problématique de notre société et fait apparaître la fragilité de la vie individuelle autant que collective.
Donner aux (très) jeunes l’envie d’entreprendre, voilà la raison d’être de l’ASBL « 100.000 entrepreneurs ». Forte d’un réseau de quelque 2.000 professionnels, elle a organisé, en quelques années, plus de 300 visites dans les établissements scolaires de Belgique francophone. Rencontre avec la directrice et cofondatrice de la version belge de l’initiative.
Un an après le début du 1er confinement, comment garder sa bonne humeur ? Avec cette impression constante de vivre un jour sans fin comme Bill MURRAY dans le film culte du même nom, vers quoi se tourner pour échapper un tant soit peu à ce quotidien morose et finalement plus que prévisible ? Et si le bonheur était dans le jardin ?…
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