L’OCDE vient de livrer ses traditionnels résultats PISA relatifs à l’apprentissage de la lecture, des mathématiques et des sciences. Des résultats en demi-teinte, mais tout de même encourageants, souligne le Directeur général du SeGEC, qui dit espérer que les dispositions du Pacte d’excellence conduiront à des scores encore meilleurs.
En 20 ans, les performances des jeunes francophones de 15 ans aux épreuves PISA en lecture, mathématiques et sciences ont quelque peu progressé pour presque rejoindre, voire atteindre la moyenne des pays de l’OCDE, et ainsi se rapprocher de celle de leurs homologues flamands.
Le processus électoral visant à renouveler les instances du SeGEC et des comités diocésains de l’enseignement catholique (CoDiEC) s’est clôturé le 9 janvier par la désignation d’un nouveau Conseil d’administration pour le SeGEC. On ne peut que se réjouir du fait que très peu de mandats soient restés vacants, ce qui est loin d’être anodin en termes de légitimité des instances.
Tel était le thème de l’échange Erasmus+ inter-écoles auquel ont participé, avec une école estonienne, plusieurs classes primaires et secondaires de l’Institut Notre-Dame du Sacré-Cœur de Beauraing. Une expérience riche d’enseignements multiples, qui a fait la part belle à la découverte mutuelle et aux interactions culturelles.
Le programme « École de l’Espoir », instauré par la Fondation Reine Paola, accompagne et soutient financièrement des projets novateurs destinés à améliorer les chances de réussite et d’intégration d’élèves en encadrement différencié. L’Institut de la Sainte-Union à Dour a pu bénéficier de ce soutien pendant cinq ans. Et la Reine est venue en personne se rendre compte de tout ce qui avait été mis en place.
Philosophe bien de son temps, Raphaël ENTHOVEN, également enseignant et auteur de plusieurs ouvrages, aime s’emparer de l’actualité pour la décrypter. Tout peut ainsi passer au scalpel de la philo : évènements ordinaires (ou non) de l’existence, mais aussi éléments majeurs de l’actualité (comme le mouvement des Gilets jaunes, ou le succès du Front national) qu’il se fait un devoir de commenter avec brio.
Selon une analyse récemment publiée par l’UFAPEC (Union francophone des associations de parents de l’enseignement catholique), 45% des élèves disent s’ennuyer « parfois », et 40% « souvent » pendant les cours. La faute à un enseignement trop vertical ayant des conséquences néfastes pour la réussite et la motivation de l’élève ? Pour l’UFAPEC, il s’agit avant tout d’accrocher le jeune, de lui donner envie d’apprendre, d’étudier et de se dépasser. Qu’en pense Jean-Paul GAILLARD, psychanalyste français, thérapeute systémicien de la famille et formateur ?
Tout le monde en convient, la maitrise de la langue française constitue la priorité des priorités pour nos élèves. Entamé dès la maternelle, cet apprentissage est loin d’être achevé en fin de 2e primaire, lorsqu’on parvient à identifier les sons et à déchiffrer les mots. Mais quel que soit le niveau d’enseignement où on se situe, aucune méthode ne sera aussi efficace que la présence, face à soi, d’un enseignant amoureux des livres…
En novembre dernier, une délégation de dix-huit personnes s’est envolée pour la Slovénie, pour une visite d’étude relative à la transition numérique. Parmi elles, des directeurs d’établissement, des enseignants du fondamental et du secondaire, et des représentants du SeGEC. Cette visite est la première d’une série de quatre voyages, avec pour objectif de découvrir ce que les établissements scolaires mettent en place pour s’ajuster aux (r)évolutions technologiques de la société et les intégrer dans les pratiques pédagogiques.
Depuis plusieurs années, le SeGEC, en partenariat avec la société Snel, propose différentes versions du journal de classe de l’enseignement catholique. Coup d’œil sur l’outil proposé aux écoles fondamentales, avec une nouveauté : un cahier de communication destiné aux élèves de l’école maternelle.
Invitation à pique-niquer, à tester les vélos sans les petites roues, à sortir les jumelles pour observer oiseaux et écureuils, à flâner sans but, ou encore à courir derrière la voiturette du marchand de glace, que sont les parcs d’antan devenus ? Relégués aux oubliettes ? Remplacés par des pros de l’« entertainment » aux redoutables arguments marketing ? Et si s’amuser ne rimait pas forcément avec dépenser…
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