Les enseignants doivent devenir des experts de la dynamique cérébrale, estime le neuroscientifique français Stanislas DEHAENE. Le chercheur s’appuie notamment sur l’importance de l’association graphème/phonème pour le bon apprentissage de la lecture. On sait aussi que l’activité cérébrale s’est modifiée en quelques décennies, ce qui influence le rapport au monde des nouvelles générations. Dans ce contexte, comment se situent les acteurs de l’école ? Nous vous proposons deux points de vue sur ces questions.